Grande semaine des tout-petits 2018
20 novembre : Journée mondiale des droits de l’enfant
Convention relative aux droits des enfants
C’est en 1991 que le Canada ratifiait la convention relative aux droits de l’enfant des Nations unies. Aujourd’hui, 20 novembre, nous célébrons cette initiative mondiale visant à assurer le bien-être de tous les enfants du monde.
Bien que les conditions de vie mises en place pour les enfants québécois respectent les 54 articles de cette convention, il n’en est pas de même partout dans le monde ! Pensons simplement aux enfants de la guerre, à ceux qui sont forcés de travailler en bas âge et à ceux qui vivent dans des conditions de précarité.
Vous pouvez contribuer en joignant votre voix à des milliers d’autres en signant la pétition de l’UNICEF pour inciter les dirigeants à redoubler d’efforts pour faire respecter les droits des enfants. https://www.unicef.org/fr/journee-mondiale-enfance#petition
À Montréal, ils sont 130 000 !
Ici même, une portion des enfants vit toujours dans des conditions pouvant compromettre leur développement. Plusieurs acteurs des milieux communautaires travaillent persévéramment afin de concerter des actions visant l’atteinte de toutes les familles vulnérables afin de leur venir en aide. En ce sens, nous saluons les actions d’Horizon 0-5, dont le Projet Constellation : en action pour les familles isolées permet de mieux rejoindre ces familles et de répondre à leurs besoins.
De plus, le réseau des CPE et de la garde en milieu familial s’inscrit dans une démarche cohérente avec la convention relative aux droits des enfants. Effectivement, pour ne nommer que ceux-ci, les articles de la convention assurent la considération du caractère unique des besoins de tous les enfants, le droit de s’exprimer, le droit de se faire des amis, de recevoir des soins appropriés, le droit de jouer et le droit à une éducation de qualité. Les éducatrices et éducateurs à l’enfance font un travail de première ligne essentiel en ce sens. Nous nous devons de reconnaître leur apport quant à l’accueil des familles, au respect de l’unicité de chaque enfant dont elles prennent soin au quotidien, dans la réponse bienveillante à leurs besoins, dans la place qu’elles leur donnent pour socialiser, et ce, tout en leur laissant le droit de jouer.
La Grande Semaine des tout-petits
Au Québec, pour une troisième année, du 18 au 24 novembre, se déroule la Grande semaine des tout-petits qui se dédie à faire de la petite enfance une priorité. Depuis la parution des résultats de l’EQDEM en octobre dernier, nous savons qu’à Montréal, c’est plus d’un enfant sur 4 qui présente une vulnérabilité dans au moins un domaine de développement à la maternelle ce qui peut avoir un impact sur leur réussite éducative et sur leur parcours de vie. Ces résultats démontrent qu’il est toujours aussi essentiel d’unir nos forces afin de faire valoir les droits de tous les enfants québécois et de leur assurer un développement harmonieux !
Élections 2018
Les élections approchent à grands pas. Les partis politiques font de nombreuses promesses aux parents dont les enfants fréquentent un service de garde éducatif à l’enfance. Leurs positions divergent sur beaucoup d’aspects : coût du service, modèle de service de garde, développement et répartition des places, maternelles 4 ans, etc.
Le RCPEIM ne prendra pas parti dans cette élection, mais il vous invite à vous informer afin que vous fassiez un choix éclairé le 1er octobre prochain. Il vous invite également à interpeller les candidats afin de bien connaître leur position sur les enjeux qui nous touchent.
Afin de vous soutenir dans votre réflexion, nous vous partageons un tableau comparatif des positions des différents partis sur des questions qui touchent notre réseau. Le tableau a été réalisé par le Regroupement des CPE de Québec et Chaudière-Appalaches.
Création d’un institut national d’excellence en éducation
Dans le cadre du lancement de la Politique sur la réussite éducative, le Gouvernement du Québec s’est engagé à entreprendre des démarches en vue de la création d’un institut national d’excellence en éducation.
Les CPE et les CPE-BC sont bien conscients du rôle essentiel de préparation à l’école que jouent les acteurs de la petite enfance auprès des enfants qui les fréquentent. Dans son document de consultation, le ministère de l’Éducation nomme que l’appui marqué pour lier la petite enfance au réseau préscolaire facilite la transition des enfants vers l’école. Il reste cependant beaucoup à faire pour qu’on reconnaisse que les services offerts aux enfants dans nos milieux constituent le premier maillon de la chaîne de l’éducation.
Nous vous tiendrons informés des avancées de cette consultation et surtout de la place réservée à la petite enfance au sein de cet Institut.
Planification stratégique MFA (2017-2022)
Le ministère de la Famille vient de publier sa planification stratégique pour les cinq prochaines années (2017-2022). L’orientation 2 vise à assurer la pérennité et la qualité des services de garde éducatifs à l’enfance. Pour y arriver, le MFA a identifié deux axes d’intervention :
1. Des services de garde éducatifs à l’enfance de qualité qui favorisent la réussite éducative
Évaluation de la qualité éducative
Le MFA mettra en œuvre un ensemble de mesures pour soutenir et assurer la qualité, notamment en évaluant la qualité des services offerts dans les services éducatifs à la petite enfance (SEPE). L’évaluation portera sur les dimensions suivantes :
- L’aménagement des lieux
- Le matériel de jeu
- Les pratiques du personnel éducateur en matière d’observation des enfants et de planification des activités
- Les interactions du personnel éducateur avec les enfants et avec les parents
Les SEPE évalués devront, sur demande du MFA, déposer un plan d’action concernant les mesures d’amélioration de la qualité éducative qu’ils comptent mettre en place.
Soutien au développement global des enfants
Le MFA veut mettre en œuvre des mesures de soutenir le développement global par des activités visant à assurer des transitions réussies vers l’école, favoriser l’engagement des parents dans la réussite éducative de leur enfant (dès leur plus jeune âge), à détecter les enfants susceptibles de présenter des difficultés d’apprentissage ou de comportement et à favoriser leurs accès aux ressources qui pourraient les aider à les résorber.
2.Une offre de service adaptée
Le MFA vise l’adéquation, sur le plan territorial, entre le nombre de places offertes en SEPE régis et les besoins des parents.
Pour y arriver, des comités seront mis en place sur chaque territoire. Pour les territoires en situation de déficit, le travail des comités pourra conduire à de nouveaux appels de projets pour favoriser l’optimisation de places ou encore au développement de nouveaux projets. Pour les territoires en situation de surplus, des mesures incitatives sur une base volontaire seront appliquées. Des CPE, des BC, membres du RCPEIM et le Regroupement siégeront sur ces comités. Les intérêts du réseau seront donc bien défendus au sein de ces instances.
Pour en savoir plus sur la planification stratégique du ministère de la Famille, cliquez-ici.
Stratégie 0-8 ans
Mise à jour du mercredi 11 avril 2018
La période comprise entre la naissance de l’enfant et sa huitième année constitue une période cruciale. Au terme de ce cycle, en plus de parfaire leurs compétences sociales, les enfants doivent avoir acquis les bases de l’apprentissage de la lecture, de l’écriture et de la mathématique nécessaires à leur réussite éducative.
L’égalité des chances : une valeur fondamentale
Différentes mesures seront mises en place pour soutenir l’atteinte de cet objectif. Différents organismes seront soutenus financièrement afin qu’ils puissent joindre les parents des enfants qui ne fréquentent pas de services éducatifs. La détection des enfants de 0 à 5 ans vivant en contexte de vulnérabilité ou qui démontrent des difficultés sur le plan de leur développement sera renforcée.
La mesure exceptionnelle de soutien à l’intégration dans les services de garde éducatifs à l’enfance pour les ayant d’importants besoins sera bonifiée davantage. Les frais liés aux sorties éducatives et culturelles organisées par les CPE seront éliminés pour certains parents. Des projets pilotes en vue d’offrir des petits déjeuners aux enfants dans les SGÉÉ en milieu défavorisé.
Assurer aux enfants de 0 à 8 ans des transitions harmonieuses entre les milieux éducatifs
À partir de juin 2019, un dossier éducatif sera mis à la disposition des parents pour suivre le développement de leur enfant, mieux détecter ses difficultés et favoriser des transitions harmonieuses vers l’école. La stratégie 0-8 prévoit aussi la création de divers outils et services à l’intention des parents et du personnel des SGÉE et de l’éducation afin de favoriser une transition harmonieuse vers l’école. Les SGÉE seront soutenus financièrement pour soutenir les enfants dans la transition vers l’école notamment par des visites dans les écoles, des activités avec des élèves plus âgés et des échanges d’information entre les parents, les SGÉE et les écoles.
Soutenir des pratiques éducatives et pédagogiques de qualité
Le programme éducatif Accueillir la petite enfance sera révisée et les éléments essentiels qui devraient obligatoirement être mis en œuvre seront identifiés. Une formation axée sur son appropriation sera élaborée et offerte au réseau. De même, un cadre de référence sur le développement socioaffectif et un autre portant sur le développement cognitif et langagier sont en cours d’élaboration.
Annoncée avec l’adoption du projet de loi 143, une mesure d’évaluation et d’amélioration de la qualité éducatrice dans les SGÉE (CPE, garderies subventionnées ou non) sera mise en place et des mesures d’accompagnement des milieux seront élaborées.
La stratégie 0-8 énonce même que des travaux d’analyse seront effectués pour déterminer le besoin de réviser les diplômes niveau collégial en éducation à l’enfance.
Les allocations spécifiques des BC seront augmentées pour réaliser des projets visant l’amélioration de la qualité éducative en milieu familial. Des projets d’aménagement ou de réaménagement des aires de jeux extérieures des CPE seront financés.
Permettre à tous les enfants d’acquérir les compétences essentielles à la fin de la 2e année du primaire
Un journal périodique destiné aux jeunes enfants (3 à5 ans sera publié en mettant à profit des auteurs et des illustrateurs jeunesse du Québec.
Des guides à l’intention du personnel des SGÉÉE, de la maternelle 4 ans, du programme Passe-Partout, des services de garde en milieu scolaire et des organismes soutenant les écoles, les familles immigrantes ou ceux qui offrent des activités de halte-garderie seront élaborés.
Un programme de soutien financer pour le déploiement de nouveaux projets nationaux, régionaux et locaux visant à soutenir l’éveil à la lecture et aux mathématiques sera mis en œuvre.
Accompagner les parents favoriser la mobilisation et la concertation des acteurs
Des cartes interactives permettant la géolocalisation des services aux familles et un document d’information sur l’ensemble des services offerts aux familles sur les différents territoires seront élaborés.
Des programmes de sensibilisation s’adressant aux parents d’enfants de 3 à 5 ans seront mis en œuvre pour souligner l’importance d’un examen de la vue avant l’entrée à l’école.
Finalement, un mécanisme de concertation national sera créé pour assurer la cohérence des actions éducatives auprès des enfants de 0 à 5 ans.
Le RCPEIM suivra de près la mise en place de ces mesures et vous tiendra informé de leur progression.
Mise à jour du 16 janvier 2018
Ce mardi 16 janvier 2018, le ministre Luc Fortin accompagné du ministre Sébastien Proulx, annonçait de nouvelles mesures en faveur de la mise en oeuvre de la politique de réussite éducative lancée en juin 2017.
Visant cinq objectifs, elle propose des mesures et actions concrètes qui permettront de porter à :
• 80 % la proportion d’enfants qui commencent leur scolarité sans présenter de facteur de vulnérabilité pour leur développement, d’ici 2025;
• 90 % le taux de réussite à l’épreuve ministérielle d’écriture, langue d’enseignement, de la 4e année du primaire dans le réseau public, d’ici 2030.
Un budget total de 1,4 milliards a été déployé pour la mise en place des 5 objectifs suivants :
1. Favoriser l’égalité des chances (budget alloué : 1 135 761 000 $)
- Bonifier :
-l’allocation pour un centre de la petite enfance (CPE) recevant des enfants issus d’un milieu défavorisé pour embaucher du personnel ou d’offrir des biens et des services supplémentaires adaptés à leurs besoins particuliers.
-la Mesure exceptionnelle de soutien à l’intégration dans les SGEE pour les enfants handicapés ayant d’importants besoins.
- Accueillir davantage d’enfants handicapés par installation donnant droit à l’Allocation pour l’intégration d’un enfant handicapé.
- Poursuivre l’ouverture de classes de maternelle 4 ans à temps plein en milieu défavorisé.
- Analyser les critères d’admission de nouvelles classes de maternelle 4 ans à temps plein en milieu défavorisé.
- Éliminer, pour certains parents, les frais liés aux sorties éducatives et culturelles organisées par les centres de la petite enfance et les garderies subventionnées.
- Mettre en place des projets pilotes en vue d’offrir des petits déjeuners aux enfants dans les SGEE en milieu défavorisé, de colliger les renseignements relatifs au développement de l’enfant, renforcera la détection de difficultés et favorisera la transmission des informations.
2. Assurer aux enfants de 0 à 8 ans des transitions harmonieuses entre les milieux éducatifs (budget alloué : 30 340 000 $)
- Mettre en place un dossier numérique unifié de l’élève qui le suivra tout au long de son parcours scolaire.
- Élaborer et promouvoir, à l’intention des parents et du personnel des SGEE et de l’éducation, divers outils et services disponibles dans ces deux réseaux favorisant une transition harmonieuse de l’enfant vers l’école.
- Soutenir financièrement les SGEE pour faciliter la transition de l’enfant vers l’école, notamment par des visites dans les écoles, des activités avec des élèves plus âgés et des échanges d’information entre les parents, les SGEE et les écoles.
- Allouer un soutien financier, par appel de projets, aux comités de concertation régionaux de l’Entente MSSS-MEES pour mettre en oeuvre des initiatives visant à améliorer les interventions touchant le développement des jeunes.
3. Soutenir les pratiques éducatives et pédagogiques de qualité (budget alloué : 96 925 000 $)
- Réviser le programme éducatif Accueillir la petite enfance et identifier les éléments essentiels qui devraient obligatoirement être mis en oeuvre.
- Mettre en place, dans les SGEE, une mesure d’évaluation de la qualité éducative et élaborer des mesures d’accompagnement qui seront offertes à ceux-ci dans le cadre d’un processus d’amélioration continue.
- Augmenter le financement des SGEE pour leur permettre d’acquérir du matériel éducatif et des outils pédagogiques, et d’organiser des sorties ou des activités éducatives.
- Soutenir :
– l’organisation de formations à l’intention du personnel éducateur des SGEE dans les installations.
-le personnel éducateur, notamment par la création d’outils pratiques, pour améliorer ses interventions auprès des enfants ayant des besoins particuliers ou issus de l’immigration.
- Élaborer et mettre en place une formation axée sur l’appropriation du programme éducatif Accueillir la petite enfance et du dossier standardisé du développement des enfants.
- Élaborer deux nouveaux cadres de référence pour les SGEE, soit un sur le développement social et affectif et un autre sur le développement cognitif et langagier.
- Entamer les travaux d’analyse visant à déterminer le besoin de réviser les diplômes du collégial en éducation à l’enfance.
- Augmenter les allocations spécifiques des bureaux coordonnateurs pour réaliser des projets visant l’amélioration de la qualité éducative des SGEE en milieu familial.
- Créer un programme d’aide financière destiné aux associations nationales de SGEE pour la réalisation de projets visant l’amélioration de la qualité et de la réussite éducative.
- Financer des projets d’aménagement ou de réaménagement des aires de jeux extérieures des CPE.
4. Permettre à tous les enfants d’acquérir les compétences essentielles en lecture, en écriture et en mathématique à la fin de deuxième année du primaire (budget alloué : 32 210 000 $)
- Élaborer des guides à l’intention du personnel des SGEE, de la maternelle 4 ans, du programme Passe-Partout, des services de garde en milieu scolaire et des organismes soutenant les écoles, les familles immigrantes ou ceux qui offrent des activités de halte-garderie communautaire.
- Mettre en place un programme de soutien financier pour le déploiement de nouveaux projets nationaux, régionaux et locaux visant à soutenir l’éveil à la lecture, à l’écriture et à la mathématique.
5. Accompagner les parents et favoriser la mobilisation et la concertation des acteurs (budget alloué : 97 100 000$)
- Mettre en oeuvre des programmes de sensibilisation s’adressant aux parents d’enfants de 3 à 5 ans pour souligner l’importance d’un examen de la vue avant l’entrée à la maternelle.
- Rehausser le financement accordé aux organismes communautaires Famille et aux haltes-garderies communautaires dans le but de renforcer leur capacité à accompagner les parents ayant les plus grands besoins de soutien pour assumer leur rôle dans le développement global et la réussite éducative de leur enfant.
- Soutenir l’organisation d’activités d’accompagnement destinées aux parents.
Consulter le tableau synthèse réalisé par le ministère de l’Éducation
Projet de loi 143
Adoption du Projet de loi 143 – mise à jour du 20 décembre 2017
L’adoption du projet de loi 143 nous permet d’espérer des avancées au plan de qualité notamment par la mise en place d’un processus d’évaluation et d’amélioration de la qualité éducative ou encore par la possibilité que le ministre impose un Programme éducatif unique pour tous. Cependant, il faudra surveiller de très près le projet de règlement qui sera déposé à la reprise des travaux de l’Assemblée nationale pour voir comment les intentions du projet de loi se concrétiseront.
Projet de loi 143
Le processus d’étude article par article du projet de loi se poursuit à l’Assemblée nationale.
Des amendements ont été apportés. Ils visent notamment à baliser le travail des RSG non régies, c’est-à-dire les personnes qui reçoivent au plus 6 enfants dans leur résidence (incluant leurs propres enfants de moins de 9 ans). Ces dernières devront se soumettre à une vérification d’absence d’empêchement, suivre un cours de secourisme adapté à la petite enfance et se procurer une assurance responsabilité civile. Elles devront également aviser par écrit le parent du fait qu’elles ne sont pas supervisées par un bureau coordonnateur de la garde en milieu familial et que la qualité de leur service de garde n’est pas évaluée.
D’autres amendements au projet de loi visent la création d’un dossier éducatif pour chaque enfant reçu en service de garde régi. Ce dossier doit comporter des renseignements concernant le développement de l’enfant, ceux permettant de renforcer la détection hâtive des difficultés que l’enfant peut rencontrer et ceux permettant de faciliter sa transition vers l’école.
Rappelons que le projet de loi 143 vise l’amélioration de la qualité éducative dans les services de garde éducatifs à la petite enfance afin de soutenir le développement des enfants qui y sont accueillis. Suivant ce projet de loi, les prestataires de services régis devront participer, sur demande du ministre, à un processus d’évaluation et d’amélioration de la qualité éducative de leur milieu, lequel pourra comprendre la transmission de documents ou de renseignements ainsi que la réalisation de questionnaires d’évaluation. Le projet de loi 143 confirme également le rôle des comités consultatifs pour l’évaluation des demandes de création de place ou de répartition des nouvelles places.
Nous vous tiendrons informés du cheminement du projet de loi.